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CANDIDATURE A LA PRESIDENSIELLE

samedi 13 avril 2013

Jean Lahiniriko s’impatiente hier à Ambohidahy
Jean Lahiniriko s’impatiente hier à Ambohidahy
 

Hajo Andrianainarivelo, Jean Lahiniriko et Rolland Ratsiraka ont déposé leurs dossiers de candidature hier. La course à la première place est déjà lancée.

Une première journée assez animée à la Cour électorale spéciale (CES), chargée de réceptionner les dossiers des candidats à la présidentielle. Trois prétendants à la magistrature suprême sont venus déposer leur candidature dès l'ouverture officielle hier 8 avril, à huit heures du matin.

 Hajo Andrianai­ narivelo

C'est Hajo Andrianai­ narivelo qui est arrivé le premier, vers 9h. Jean Lahiniriko l'a suivi à 11h et Rolland Ratsiraka une trentaine de minutes plus tard. La possibilité de figurer en tête de liste du bulletin unique constitue l'enjeu de cette course contre la montre. Des proches de Jean Lahiniriko n'ont pas manqué de lancer un pic à ses adversaires en annonçant que la structure destinée à réceptionner la caution de 50 000 ariary n'a pas été opérationnelle que le matin même.
«Nous avons déjà voulu payer notre caution vendredi mais ce n'était pas possible. Je ne sais pas comment les autres ont fait, apparemment, ils ont trouvé un raccourci », a déclaré un des proches de Lahiniriko.
En tout cas, pas de grosses surprises à signaler pour cette première vague de dépôts de candidature. Ceux qui sont venus déposer leurs dossiers étaient déjà des candidats déclarés et connus. Pareil pour les déclarations qu'ils ont faites à la sortie du bureau prévue par la CES pour accueillir les candidats, dans l'enceinte de la Haute cour constitutionnelle. Hajo Andrianainarivelo a simplement déclaré qu'il est prêt pour ces élections. Quant à la possibilité d'une démission prochaine, le vice-Premier ministre chargé du Développement et de l'amé­nagement du territoire est resté évasif, déclarant simplement que la loi a prévu des dispositifs à ce sujet.
Alliés et… alliés

 Jean Lahinirko

Jean Lahinirko, de son côté, a annoncé que sa candidature a été proposée par le Comité de soutien à Lahiniriko ou Komity manohana an'i Lahiniriko (KML), la même structure qui l'a soutenu lors des présidentielles 2006. Une parade qui lui a permis de contourner le litige qu'il a eu avec Reboza Julien concernant la présidence du PSDUN et aussi vis-à-vis de l'UDR-C, la plateforme de soutien à Andry Rajoelina qu'il a présidée avant qu'il ne décide de se porter candidat. Des personnalités comme Jean Théodore Ranjivason et Pierre Tsiranana ont été aperçues àses côtés hier.
« Comme vous pouvez le constater, il y a des gens issus de plusieurs formations politiques au sein de mon équipe. Et d'autres alliés qui n'ont pas pu venir, faute de temps », a déclaré cet adversaire de Marc Ravalomanana lors des présidentielles de 2006 qui n'a pas manqué de saluer l'utilisation du bulletin unique. « Il n'y aura plus de problème d'absence de bulletin dans les bureaux de vote comme c'était le cas en 2006 », se réjouit-il.

 Rolland Ratsiraka

Rolland Ratsiraka, le candidat de Malagasy tonga saina (MTS) de son côté, a déjà les yeux braqués vers la précampagne électorale. Fort de ce qu'il a qualifié d« affluence sans précédente » lors de sa de sa descente qu'il baptise « Fihavanana tour » à Fianarantsoa ce week-end, il a annoncé la poursuite de sa tournée en provinces et dans les grandes villes du pays. « Plusieurs grandes villes réclament le Fihavanana tour. Nous devons donc le faire », a-t-il souligné.
Le dépôt de candidature est ouvert jusqu'au 28 avril et il consiste uniquement à vérifier si toutes les pièces nécessaires ont été fournies par le candidat. Les juges de la CES se chargeront par la suite d'étudier chaque cas et de valider ou pas la candidature. La liste définitive des candidats devra être sortie au plus tard le 3 mai.
                                                                                                           Mahefa Rakotomalala
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CINEMA GASY

vendredi 12 avril 2013

Le cinéma malgache, parlons-en…


Hilarant. LOL. J’en ris encore, comme le ferait Steven Spielberg devant un thriller malgache. Ptdr. Je cours, je cours et je cours comme un fou par une température invivable. Il fait trop chaud et je n’ai même pas faim alors qu’il est déjà plus de midi. Coupez!
Une histoire de telenovela
Je devais être en classe de 10 ou 9ème. La classe finissait, tous les matins, à 12 heures. Il y avait ce feuilleton-là: « Marimar » qui passait sur la TVM, la chaîne nationale  malgache, tous les soirs à 19 heures. Il arrivait que pour une raison ou pour une autre, je ratais ce moment. La dernière solution si je ne voulais pas rater une épisode, c’était de regarder la rediffusion le lendemain à midi, à l’heure où sonnait la cloche de la fin des cours. Et donc, il m’arrivait souvent de courir, tel Kenenisa Bekele. Je serais, un jour ou l’autre, devenu champion du monde en 10 000 mètres si j’avais continué, mais bon… Souvenirs d’enfance!
Non mais sérieusement, celle ou celui qui ne connaît pas Belle Aldama et Sergio Santibañez n’est pas malgache. Les t-shirts à leur effigie se vendaient comme de l’ huile bon marché. Il y avait même une marque de rhum qui a retouché ses étiquettes pour se mettre aux couleurs de la série. Et Dieu sait si ces deux jeunes gens (Sergio et Bella) étaient au courant que l’on se faisait beaucoup de fric dans leur dos, dans un île de l’Océan Indien. La diffusion du dernier épisode de Marimar a même fait tout un reportage dans le journal télévisé du petit écran. Toute une histoire nationale…
Les telenovelas sont, d’après Wikipédia l’encyclopédie libre, des feuilletons quotidiens de soirée des pays hispanophones et lusophones. Ce qu’on oublie de préciser c’est que dans ce genre de série toutes les filles ont le nom qui se termine par A et les mecs par O (Rosalinda, Frijolito). On a omis aussi d’inclure que les spectateurs dépensent 250 heures par an devant une histoire dont on connaît parfaitement les recettes:
1-les belles histoires d’amour: histoires presque impossibles, deux amants issus de deux familles rivales et/ou de conditions pécuniaires contraires.
Exemple: Barbarita, une fille qui fait la manche dans la rue et Alfredo, fils de Goustavo (président d’une société productrice de popcorn), tombent amoureux. C’est le coup de foudre total.
2-les terribles secrets qu’on annonce généralement que dans un lit de mort
Exemple: Corassone, grand-mère de Barbarita alors qu’elle est sur le point de mourir annonce à Diablo: « Je vais mourir, il est temps que je révèle ce lourd secret que j’ai gardé durant toute me vie. Barbarita est la demi-fille de Gustavo (le président de la société productrice de pop corn) et Alfredo n’est pas du tout son fils. Et ne dis à personne, surtout pas à ta chère Clarita, que j’ai caché tout l’héritage de Barbarita dans le jardin sous le 3ème cocotier. Clarita, piplette comme elle est risque de laisser ce secret entre de mauvaises mains. Maintenant je peux mourir en paix. » Gliii
3-les suspens, l’hypocrisie, la vengeance puérile, etc…
Exemple: Clarita a fini par savoir toute la vérité et s’est fâchée qu’on ne lui aie pas dit tous les secrets. Elle a tué son presque-mari Diablo et cherche à tout prix à s’emparer de tout l’héritage de Barbarita. Ayant tué Diablo avant qu’il ne révèle l’emplacement du trésor, elle ne sait donc pas si c’est sous le 2ème ou le 3ème cocotier.
4-(re)belles histoires d’amour avec à la fin le mariage princier, les gentils qui deviennent riches et les méchants qui deviennent fou ou meurent
Exemple: Alfredo et Barbarita finissent par se marier. Clarita est dans une asile et Gustavo a pu implanter sa société de popcorn dans toute l’Europe.



Et les films gasy dans tout ça…
La surexposition des films étrangers (dont les telenovelas) a toujours handicapé les productions locales. Les cinéphiles malagasy deviennent en quelque sorte envoûtés par des films produits à des milliers de kilomètres de chez eux. Par exemple, demandez-moi de résumer la saison 2 de Prison Break, Lost ou encore KyleXY, je vous le ferais même pas en 24 heures chrono; mais par contre, si vous me demandez de citer 3 personnages dans Jiaby Jiaby (un feuilleton made in Madagascar) je ne saurais pas, mais pas du tout.
Il y a aussi une question de coût. Aujourd’hui, un DVD de 6 films étrangers se vend à 1000Ariary contre  4000Ar pour un VCD original de film gasy. Mais ça c’est une histoire de piratage….
Malgré tout cela, le monde du cinéma malgache fait de son mieux. Des initiatives comme les rencontres du film court sont organisés pour promouvoir les nouveaux talents (acteurs, réalisateurs, scénaristes). Des maisons de production lancent même des tombolas pour encourager les gens à acheter les œuvres originales (CD, DVD originaux, PIRATE NO).
On peut dire que ça marche bien. Maintenant, c’est du bonheur de regarder les pubs et les clips sur le petit écran, du bling bling partout. Et en bon malgache, qui cherche toujours à trouver les nouvelles tendances et les dernières techniques, je me demande comment un  film noir et blanc, et en plus de ça muet peut obtenir 5 oscars. C’est fou! Y aurait-il eu pot-de-vin ou va-t-on bientôt jeter les Ipod pour remettre les phonographes dans le marché? Ah le 7ème art! J’y comprends plus rien… quoique je n’ai pas encore vu ce « The Artist »! Envoyez-moi le DVD ;)
Pour aller plus loin, je vous conseille de lire « Le cinéma malgache : avancée, recul ou statu quo ? »

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ANDRY !EST'IL VRAIMENT LE SATAN

jeudi 11 avril 2013

.   Sorti tout droit du monde de l’irréel et du fantastique, un jeune homme qui a pour nom Andry (honni soit qui mal y pense, il ne s’agit point de Qui vous savez), se déclarant fils d’un artiste de renom du show-bisness, fait un tabac terrible sur le net. Il fait surtout l’objet d’un engouement malsain et attire la curiosité des fanatiques internautes. Avec ses aveux qui vous glacent le sang dans vos veines, il se livre à une narration à peine croyable de l’aventure qu’il a vécu depuis sa petite enfance. Ses témoignages très saisissant dérangent et laissent perplexes 
                                                                              

UN PETIT GENIE

Cette sorte d’extra-terrestre confie n’avoir pas connu les délices d’être nourri aux seins de sa mère. Faire des études primaires avec des performances dignes d’un génie et passer son bac à l’âge de10 ans où, d’ordinaire les autres enfants se passionnent encore pour les lectures des Mangas, n’est pas à la portée de n’importe qui. Surtout lorsque le jeune en question donne des détails très précis sur la consommation de chair humaine de nouveau-nés. On en arrive à se demander s’il a encore toute sa raison pour faire de la sorte des confidences incroyables. En guise d’excuse, il avoue faire du témoignage devant un pasteur exorciste qui, dans le document vidéo diffusé sur You Tube, ne montre pas son visage, ne décline pas son identité, mais lui tire les vers du nez…

 DES MONSENGES

Au passage, les confidences de Andry égratignent l’image de son père à qui, il reproche de l’avoir emmené quand il était gosse, à une séance de transes rituelles (tromba) chez le fameux Iadamalandy. Là où son récit dérange également, c’est lorsqu’avec force des détails, il narre les « petits voyages sous l’égide Lucifer », les opérations de pénétration dans les âmes d’autrui, afin de livrer ces personnes aux caprices de Satan. Là où la prestation de Andry devient vraiment dégelasse, c’est lorsqu’il donne, avec des détails, sur les séances de dégustation de chair humaine de bébés qu’il compare au goût d’un cochon de lait. Les utilisations de miroirs magiques pour se déplacer d’un endroit à un autre et surtout les infiltrations dans les communications par téléphonie mobile, n’incitent guère à la crédulité, parce que le jeune homme, sur ce point, n’est pas avare de détails et s’étend sur l’impuissance des Eglises sans exception, face à la force du mal. Il n’épargne personne dans cette confidence sur le net, même le pasteur très médiatique qui a tenté de jouer l’exorciste par l’hypnotisme. Pitoyable parfois quand il pleurniche devant le pasteur, son confesseur devant lequel « sans être vantard »(?), il étale un signe extérieur d’enrichissement, avec un parc automobile, composé de plus d’une dizaine de Toyota Prado et de plusieurs villas et sa capacité à se muer en serpent en reconnaissant pourtant « une panne » devant le pasteur qui s’est chargé de sa délivrance.

 LUCIFE ET BELZABUTH

 Il révèle les endroits comme Antohamadinika et autres où se recrutent les adeptes du satanisme sous le couvert de quelques salons de coiffure au fond desquels se trouvent les antres des pratiques diaboliques. Coïncidence étonnante, ce fils d’artiste qui, apparemment, semble avoir perdu la raison à qui, son père interdit de prier et traite de « cinglé », met les effusions de sang des affrontements politiques sur le compter d’un besoin de sang humain à boire, exigées par Lucifer et Belzébuth. Pour couronner ce voyage dans le monde de l’incroyable, ne voilà-t-il pas que cet Andry se souvient d’une nuit de 1er novembre, au cours de laquelle, il a passé la nuit dans une tombe jusqu’à réveiller le cadavre qui s’y trouvait.
Après avoir passé en revue les vidéos sur cette histoire d’un jeune homme qui, à priori, tient du surnaturel, on est bien obligé d’attirer l’attention de tous sur ces pratiques criminelles de consommation de chair humaine, avouées dans le net. Les faits évoqués sont passibles de peines pénales et interpellent les juridictions des tribunaux. Un laisser-aller à ce niveau remet en cause le bien-fondé de la morale. Sauf, bien sûr s’il s’agit tout simplement d’un patient qui a besoin des soins psychiatriques…à qui le net a donné une autre dimension.

                                                                                                        LA NATION
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Andry «Prince de Satan» : nisy fahagagana teny amin’ny Tribonaly



Nigagan’ny mpanatrika teny amin’ny Lapan’ny Fitsarana Anosy, omaly, ny tombontsoa manokana nomena an’i Andry «Prince de Satan» sy ireo mpitarika fiangonana niara-voasambotra taminy tamin’ny raharaha fanalam-baraka nataony tamin’i Dama tao amin’ny tarika Mahaleo.

Nihevitra mihitsy aza angamba ny sasany hoe nampiasa ny hery miafina izay lazainy fa hananany ity Ranamana ity sy ireo pasiterana sekta niara-voampanga taminy.

Noloarana tany amin’ny fonja nitazonana vonjimaika azy mantsy ireto voampanga ireto, hatao famotorana. Ny nahagaga anefa dia toa zary nogenagenaina sy nomena fiarovana manokana avy amin’ireo mpiambina ny lapan’ny fitsarana mihitsy izy ireto na tsy nisy tokony ho natahorana ny ainy akory aza tao amin’ny fitsarana. Mbola nahagaga ny nanatri-maso ihany koa ny namelana ireto mpivavaka (mpiangona) avy amin’ity sekta ity hanao izay tiany atao tao anatin’ity lapan’ny fitsarana ity ihany satria dia afaka nanemotra ny lalantsara mihitsy izy ireo mba hiarovana ireto voampanga amin’ny mpanao gazety, fa indrindra amin’ny mpaka sary. Noezahina noho izany ny tsy hahazoana sary azy ireo ary navilivily nanerana ny lapa mihitsy hialana ny mpanao gazety. Mbola fahagagana hafa ihany koa satria nony naverina eny am-ponja izy ireny dia tsy nentina tamin’ny fiara natokana ho amin’izany tahaka ireo olon-tsotra fa nampidirina tao an-tokontanin’ny Lapan’ny Fitsarana mihitsy ny fiarany sy ny an’ny mpanaraka azy avy, hiondranany, hisorohana ny fakana sary ihany…

Hay tsy fahagagana fa toa tsindry bokotra
Teto vao nanomboka vaky bantsilana ny resaka fa hay tsy fahagagana avy amin’ny hery miafina fa toa hoe nahazoana baiko avy any ambony ny fanatanterahana izany, araky ny tsilian-tsofina teny an-toerana ka toa nanamafy ny tsaho efa niely mikasika ny fananan’ireto voampanga ireto mpiaro matanjaka sy ny tokony hahazoany fahafahana vonjimaika tamin’iny fotoana iny ihany. Efa nivonona tamin’izany rahateo koa no fijery ireo mpiara-mivavaka tamin-dry zareo izay nisomebiseby nameno ny atiny sy ivelany tamin’ny Lapan’ny Fitsarana ary saika hivadika hahery setra mihitsy rehefa tsy raikitra io fahafahana vonjimaika nantenaina io.
Raha tsorina tsy nisy ny fahagagana fa ny tsindry bokotra no mbola manjaka ao amin’ny fitsarana, zavatra tsy mahagaga tokoa satria efa fomba fanao hatramin’izay ka mbola mitohy mandrak’ankehitriny.

Tsy hanaiky ry Mahaleo !
Saika tsy hiraharaha ity resaka ity ihany izahay, hoy ny avy ao amin’ny tarika Mahaleo saingy voatery niditra amin’izao làlana izao satria niantraika tamin’ny fiainam-pianakavian’ny tsirairay taminay sy tamin’ny tarika mihitsy no niafaran’ny fanalam-baraka ka tsy azo noleferina. Tsy ho vahaolana anefa ny fanagadrana ireo nahavanona izany satria tsy hahafafa ny ratsy nataony mihitsy izay sazy ho azony. Tsy maintsy hitohy ny fanaparitahana ireo horonantsary ary ho ambentin-dresaky ny olona foana izahay, hoy Charle Andrianaivo, nanotrona an’i Dama tamin’io omaly io ka tsy hanaiky mora izao tetika fanapotehana izao ny tarika. Tsy nisy nitombona rahateo ny tantara nataon’i Andry saingy tsy mamakafaka tsara koa ny mpihaino ka andairany. Loza mitatao amin’ny firenena sy ny vakoka anefa ankehitriny ny fampifangaroan’ireo mpitondra fivavahana tsy mahafehy ny asany ny fomba sy ny finoana ka tokony hitandrina ny vahoaka mba tsy ho voafahan-dalitra sy ho hatao vorombe fangala-menaka fotsiny, hoy ireto avy amin’ny tarika Mahaleo izay mbola nanambara ny fahagagany amin’ny tsy fihetehan’ny fanjakana eo anoloan’ireny filazan’ity Andry « Prince de satan » ity fa nihinana nofon-jazakely ny tenany. Tsy nisy akory na sombina fanadihadiana natao tamin’izany, na marina izany filazany izany na tsia.

 Vendredi, 05 Avril 2013
                                                                                               

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LE SAVIKA

mercredi 10 avril 2013


Le Savika      :   Le Combat de zébu
  



Comme partout à Madagascar, le zébu occupe une place importante dans la société saint-marienne. Cet animal qui revêt un caractère sacré est synonyme d’aisance sociale.
         Cette forme de tauromachie betsileo qui dispose aujourd’hui de ses propres arènes attire les touristes par sa forte charge en émotions fortes. Pas de banderille ni de muleta, le torero n’a que ses mains nues et ses ruses pour éviter d’être piétiné ou envoyé dans les airs.
Le savika est une des mille facettes de la place du zébu dans la civilisation d’un pays à dominante rurale... 
 
        Sport traditionnel et initiatique qui oppose jeunes Betsileo aux zébus dans des combats à "mains nues".
 Ils peuvent aussi être très virils comme le "Savika" betsileo, forme de tauromachie sans mise à mort du taureau
Le zébu ne reste pas seulement un symbole. Il sert de référence. Le jeune Betsileo ou le jeune Merina mesure sa force avec celle du zébu en pratiquant le "savika" ou le "tolon'omby".
 
       Ce sport violent et dangeureux, du genre des tauromachies, pratiqué encore de nos jours, plait énormément à la population. Les jeunes hommes y participent surtout afin de séduire leur bien-aimée. Les Bara, quant à eux, démontrent leur virilité à travers les vols de boeufs. 

Le Savika          

UN GRAND PATRIMOINE

 Le tourisme en général et son aspect culturel en particulier, constituent pour la destination Ambositra et ses environs, une potentialité non négligeable qu’il y a lieu de promouvoir.
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EDGAR RAZAFINDRAHAVY POUR LE TGV

lundi 8 avril 2013


 EDGAR RAZAFINDRAHAVY CHOIS PAR LE TGV POUR LE DEFI DE L'ELECTION PRESIDENTIEL


photos:expresss de MADAGASCAR


A Madagascar, Edgard Razafindravahy sera-t-il le successeur d'Andry Rajoelina ? C'est en tout cas ce que souhaite le président de la transition, et ce qu'a entériné son parti.
Samedi 6 avril, au terme de deux jours de congrès, l'homme fort de la capitale a été proclamé candidat du TGV pour la présidentielle de juillet prochain. C'est une surprise car l'ancien Premier ministre, Camille Vital, était donné favori.
Edgard Razafindravahy, nouvelle égérie du TGV (Tanora malaGasy Vonona), poulain d'Andry Rajoelina pour la présidentielle... C'est donc le choix du président de la transition et de son parti. Face à une salle comble et chauffée à blanc depuis des heures, le patron d'Antananarivo a fait samedi ses premiers pas en tant que candidat.
Lutte contre le chômage, la corruption, accès à la santé et à l'éducation, quelques thèmes de campagne ont été esquissé par cet homme d'affaires de 51 ans, entré tardivement en politique. Nommé à la tête de la capitale en 2009, il n'a en effet jamais été élu.
Alors si cet homme originaire des Hautes terres, pourra compter sur le soutien de la haute bourgeoisie malgache, il devrait rencontrer bien plus de difficultés dans la brousse et chez les côtiers. «En dehors de Tana, qui connaît Edgard Razafindravahy ?», souligne même un observateur avisé.
Et pourtant, dès le retrait du président de la transition de la course à la présidentielle, l'homme avait fait savoir ses ambitions. Il espère ainsi s'inscrire dans la lignée de ses prédécesseurs. La mairie d'Antananarivo a conduit Marc Ravalomanana comme Andry Rajoelina au palais présidentiel.
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Hôtel paradisa kely à nosy be

vendredi 22 mars 2013

source de l'image: nosybe-tourisme.com
C'est à Nosy Be que l'hôtel Paradisa Kely se trouve. hôtel Nosy Be propose des bungalows de 2,3 à 6 places offrant confort et discrétion. Grâce à son restaurant et à son bar, les saveurs malgaches viennent se mêler au cadre paradisiaque.
L'hôtel Nocy Be est situé tout prêt de la réserve Lokobé. On y trouve de nombreux animaux dociles que l'on peut approcher. Si vous aussi vous êtes passionnés par l'hotellerie, vous pouvez vous renseigner sur la formation en hôtellerie.

Un cadre magnifique et reposant

L'hôtel est situé à quinze mètres de la plage. La plage appartient à l'hôtel, elle offre calme et sérénité. Le cadre de Nosy Be est magnifique, on apprécie l'unicité entre le ciel et l'océan, les cocotiers, mais aussi son environnement naturel.

Pour les visiteurs de Madagascar

Des excursions sont proposées par l'hôtel, notamment une excursion à bateau afin de découvrir l'archipel. Des ballades peuvent également être de la partie en particulier pour découvrir le mont Passot et sa vue imprenable. L'ile Nosy Be regorge de magnifiques paysages et présente de nombreux lacs autour du mont Passot.

Hellville est situé tout prêt de l'hôtel. C'est un atout majeur pour les visiteurs voulant découvrir la culture malgache. On y trouve le marché ainsi que des artisans qui proposent de nombreux articles tels que des tableaux, des bijoux et des parfums…

À propos de l'auteur :

Article rédigé par l'agence de communication multimédia e-concept, spécialiste du référencement.

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